1-      Le tournage

Avant de tourner le film le réalisateur a fait une enquête préalable de deux ans en Afrique. Il a fait signer le droit à l'image aux Burkinabais, ainsi qu'aux sociétés de cosmétiques.

M. Baqué s'est rendu deux fois trois semaines au Burkina Faso pour filmer et comprendre la vie des femmes africaines et leur travail. Il a été aidé dans son travail par un burkinabais du nom d'Alidou Badini. Avant le tournage le réalisateur avait fait des repérages et écrit un scénario.

M. Baqué nous a confié qu'il n'était pas satisfait du montage de ce film.

2-      Les conditions de travail des femmes

Le beurre est essentiellement produit par des femmes qui sont exploitées par les industriels .Les hommes sont des intermédiaires qui leur achètent le beurre de karité pour presque rien et le revendent beaucoup plus cher à de grosses industries en gardant du bénéfice pour eux. Les femmes ne gagnent pas assez d'argent pour soigner leurs enfants et les envoyer à l'école.

Heureusement il existe du vrai commerce équitable (on fait attention aux conditions de travail des femmes, aux transports et à la revente) comme la société Andine.

3-      Nos impressions

Nous avons trouvé ce film très instructif, même si certaines parties du documentaire étaient difficiles à comprendre (l'économie, ...).

Nous avons été choquées par les conditions de travail et de vie des femmes du Burkina Faso.

Même si le commerce n'est presque jamais équitable, il faut faire attention à ce que l'on achète et éviter autant que possible d'aller dans les grandes surfaces qui durant le film ont refusé de signer le droit à l'image et ont voulu garder l'anonymat.

                                                                                                                             BONNEFIN Amélie 3°4

                                                                                                                             CHABANET Solène 3°4